Soldats de la Luftwaffe

Postez ici les photos d'époques de la Luftwaffe Felddivision.
 
Je commence   :
 

 

 

 

 

Dès l'hiver 1941/1942 à la suite des pertes effrayantes de l'armée allemande sur le front de l'est et à la suite des offensives d'été, il devint évident de réorganiser la Luftwaffe avec ses effectifs en surnombre.

"Au 20 mars 1942, l'Armée de terre allemande a perdu en Union soviétique 225 559 tués, 796 516 blessés (environ 100 000 mourront de leurs blessures et 350 000 autres ne pourront plus retourner au combat. Ce qui donne des pertes définitives supérieures à 700 000. Soit le personnel de 50 divisions.) et 50 991 disparus. Ce million et plus de pertes touche avant tout les éléments combattants des unités, particulièrement l'encadrement ( 32 485 officiers hors de combat, soit UN SUR DEUX). Au total, 35 % des effectifs alignés le 22 juin 1941 ont disparu. Malgré l'arrivée de remplacements, il manque 740 000 hommes aux armées le 1er mai 1942. Halder estime à ce moment que l'infanterie des groupes Nord et Centre a perdu 65 % de ses moyens humains, le groupe Sud, 50 %.
Les hommes tombés formaient la fine fleur des Divisions « professionnalisées » par les campagnes victorieuses de Pologne, de France et des Balkans. Les remplacements sont issus des jeunes classes nées en 1922 et 1923, des retours de convalescence ainsi que de l'appel de quelques dizaines de milliers d'affectés spéciaux entraînés à la hâte. La situation des effectifs est si tendue qu'aucune réserve ne peut-être constituée."

Stalingrad, la bataille au bord du gouffre,
Jean Lopez

Le 12 septembre 1942 la Luftwaffe devait transférer 200 000 hommes à l'armée de Terre. Hermann Göring convainquit Hitler que ces hommes restent des soldats de la Luftwaffe se battant sur le front terrestre mais ne fassent pas partie de la Wehrmacht. On créa alors une vingtaine de Luftwaffenfelddivision.

Noter le port de hautes bottes de caoutchouc. Sans doute opèrent-ils dans des marais.

Tireur d'élite de la Luftwaffe

Noter l'utilisation d'une mitrailleuse russe Maxim par ce soldat de la Luftwaffe. Ce dernier à peint son casque en blanc. Il porte une capote et n'a pas perçu de tenue d'hiver réversible.

Dans cette tranchée, ce soldat de la Luftwaffe, porte une moustiquaire, bien utile sur le front de l'est.

Noter la présence d'une MG 15

Noter à côté du PPSH russe de prise, un colis postal qui appartient sans doute à ce soldat de la Luftwaffe.

Le fameux "pain de munition"

Panzerjäger de la Luftwaffe avec un Pak 38 de 50 mm.

Plusieurs mesures furent prises afin de lutter contre la tabagisme : l'interdiction de fumer dans les tramways, les bus et métros, la promotion de l'éducation à la santé, la limitation des rations de cigarettes pour les soldats de la Wehrmacht, l'organisation de conférences médicales pour les soldats et l'augmentation des taxes sur le tabac. Les Nazis imposèrent également des restrictions à la publicité pour le tabac et une réglementation sur le droit de fumer dans les espaces publics, tels les restaurants et cafés. Si le mouvement anti-tabac n'eut pas beaucoup d'effets dans les premières années du régime pas beaux (la consommation de tabac augmenta même entre 1933 et 193914), elle diminua chez les militaires de 1939 à 1945

Le chancelier désapprouve la liberté de fumer des militaires ; durant la Seconde Guerre mondiale, il déclare le 2 mars 1942 : « c'était une erreur, imputable au commandement de l'armée à l'époque, au début de la guerre ». Il annonce également qu'il est « incorrect de dire qu'un soldat ne pouvait vivre sans fumer » et promet la fin de la consommation de tabac dans l'armée après la fin de la guerre.

Dans les dernières années de la Seconde Guerre mondiale, les chercheurs considèrent la nicotine comme un facteur provoquant les infarctus du myocarde subis par un nombre significatif de militaires sur le Front de l'Est. Un pathologiste de l'armée examine trente-trois jeunes soldats décédés d'un infarctus du myocarde sur le front et publie dans un rapport, en 1944, que tous sont des « fumeurs enthousiastes ». Il cite l'opinion du pathologiste Franz Buchner qui déclare que les cigarettes sont « un poison coronarien du premier ordre "

Mouvement anti-tabac sous le Troisième Reich
Wikipedia


Noter la casquette "alter art".


…Le 20 juin 1940, le chancelier ordonna que l’on distribue aux soldats des rations de tabac « qui les dissuaderaient » de fumer. Les rations de cigarettes étaient limitées à six par homme et par jour, avec des rations d’autres produits pour les non fumeurs (chocolat ou nourriture supplémentaire, par exemple). Il était parfois possible d’acheter des cigarettes supplémentaires (jusqu’à cinquante par homme et par mois), mais il était souvent difficile de se les procurer, c’était le cas pendant les périodes d’avance ou de retraite. Les femmes qui accompagnaient la Wehrmacht étaient totalement privées de rations de tabac. Les nouvelles taxes de la période de guerre rendirent l’habitude de fumer moins accessibles : une ordonnance du 3 novembre 1941 augmenta la taxe sur les cigarettes de 80 % à 95 % sur base de sa valeur dans le commerce de détail. Près de deux fois le prix que les Allemands payèrent deux décennies après la guerre.
La conséquence finale de ces événements parmi d’autres, dont le principal, bien sûr, était le développement des pénuries causées par la guerre, fut de diminuer la consommation de tabac des militaires pendant les dernières années du Reich. Une enquête réalisée en 1944 sur 1 000 militaires indiqua que si la proportion de soldats qui fumaient avait augmenté depuis le début de la guerre, la consommation totale de tabac avait finalement baissé d’un peu plus de 14 %. Il y avait plus d’hommes qui fumaient (parmi ceux qui faisaient l’objet de l’enquête, 101 avaient commencé à fumer alors que seuls 7 avaient arrêté), mais à présent, le soldat moyen fumait environ un quart de tabac en moins que durant la période qui précéda immédiatement la guerre (23, 42 % de moins, selon cette enquête excessivement précise). Le nombre de très gros fumeurs (plus de 30 cigarettes par jour) avait fortement diminué, et on enregistrait des baisses similaires pour les gros fumeurs plus modérés……

La guerre des nazis contre le cancer
Robert N. Proctor

Une roulante de la division Hermann Goering en Italie.

Noter l'absence de pattes d'épaules !

Jäger sur semi-chenillé avec Flakvierling en protection de chars Tigre !