Les troupes de la Luftwaffe en Italie

Noter la peinture de Giovanni Paolo Pannini.

Fallschirmjäger à Rome !

Un Sturmgeschütz en appui feu des Fallschirmjäger !

La Raspoutitsa Italienne !  
Transport de munitions dans une brouette !

super , un sujet ultra a faire, le sauvetage d'œuvre par la HG...!!
ciao
quentin

Qui fournit lesdites œuvres :p ?

Ho ça se trouve,
Avec peu on peut faire du très très semblant , fait moi confiance..
le plus dure est juste de trouver un endroit qui ressemble vaguement au style italien ^^
ciao
quentin

Avant de penser aux œuvres d'arts, je préfère la belle brochette de camions Opel Blitz ! Oui je sais ça manque un peu de poésie et de Kultur !  

LA 15e d'opel Blitz..
Sale riche !! 
ciao
quentin

Le 28 août 1943, Castellano revint de Lisbonne avec les conditions imposées par les Alliés pour la reddition. Les Allemands soupçonnant quelque chose se préparent. Le 30 Août, le maréchal Jodl envoie des directives « L’essentiel est de désarmer l’armée italienne aussi vite que possible…. »
Le maréchal Badoglio déclare que le gouvernement italien restera fidèle à son allié de l’Axe.
« Je suis le maréchal Badoglio. Le maréchal Badoglio. Je suis de la génération des trois plus vieux maréchaux d’Europe…..La méfiance du gouvernement allemand à mon égard est incompréhensible. J’ai donné ma parole et je la tiendrai. Ayez confiance en moi. »
Le 8 septembre, le gouvernement Badoglio annonce la reddition des forces italiennes aux Alliés.
Dès le 7 septembre le haut commandement allemand donna l’ordre de désarmer toutes les unités italiennes. Bien préparée, la riposte allemande est fulgurante. La majorité des unités italiennes se laissent désarmer sans offrir la moindre résistance. Au total, plus de 700 000 soldats italiens sont désarmés et transférés en Allemagne. Aucune manifestation populaire, aucune grève ne sont venues entraver l’action des forces allemandes. Partout, le peuple italien s’est réfugié dans une neutralité apeurée.
La défection de l’Italie, bien que prévue, depuis longtemps créa un choc psychologique en Allemagne. Goebbels écrira : « Le Duce, entrera dans l’histoire comme le dernier Romain…Mais derrière lui, il n’y a qu’un peuple de romanichels…. »

Le maréchal Badoglio

Désarmement de l'armée italienne. Ces Fallschirmjäger gardent tout un arsenal de chars italiens. On aperçoit des canons d'assaut Semovente armés d'un canon de 75.

Soldat italien.

Sniper de la Luftwaffe

Soldats de la Luftwaffe avec des soldats italiens lors d'une pause déjeuner.

Pièce de Flak bien camouflé dans la campagne italienne.

Le 12 Septembre 1943 avait lieu l’une des plus audacieuse opération de la guerre : la libération de Benito Mussolini emprisonné dans un hôtel à 2000 mètres d’altitude dans les Abruzzes, dans le Gran Sasso.

L'hôtel Campo Imperatore où est secrètement enfermé Mussolini.

Hitler charge Otto Skorzeny et ses commandos de libérer Mussolini. Ce dernier enquête et finit par trouver le lieu secret où est enfermé le Duce. Une opération est montée en collaboration des commandos de Skorzeny (bataillon Friedenthal) et les Fallschirmjäger du I/FJR7 (bataillon d’instruction) commandés par le Major Mors. L’opération comprend énormément de risques vu la configuration du terrain. Un largage de parachutistes est impossible dans la montagne pour être efficace (raréfaction de l’air et courants aériens). Reste l’option de l’attaque par planeurs (opération extrêmement risqué et aléatoire à cause de l’altitude, l’inclinaison du terrain lui-même et des nombreux rochers), l’état-major technique des parachutistes prédit 80 % de pertes, mais finalement le plan est approuvé par Kurt Student lui-même

Kurt Student, général des troupes aéroportées de la Luftwaffe et père fondateur des parachutistes allemands.

Planeur DFS-230 avec armature en acier recouverte de toile ayant servi sur le Gran Sasso.

Une partie des forces sous le commandement du major Mors attaquera par le bas dans la vallée pour boucler toutes les routes et s’emparer de la station téléphérique en bas de la montagne. L’opération doit être synchronisé avec l’attaque par les airs, pour ne pas donner l’alerte à la garnison italienne (en bas comme en haut) et risquer l’exécution entre autre de Mussolini.

Le téléphérique, une fois l'opération menée avec succès en haut et la libération du Duce et le bouclage réussi en bas de la station devra amener rapidement des renforts à l'hôtel pour la sécurisation de l'opération sur le Gran Sasso.

Un parachutiste sur le Gran Sasso.